jeudi 11 septembre 2008

UNE FOIS DE PLUS UNE AGRESSION ANTISEMITE


Il est de bon ton et rassurant de répéter que le nombre d'agressions antisémites a baissé en France.

En chiffres absolus, cela est certainement vrai mais en examinant les chiffres de la population juive et sa répartition géographique sur le territoire national , cette assertion devient totalement inexacte.

En effet, depuis quelques années les démographes ont constaté une baisse continue de la population juive (environ 25 %, liée à une baisse de la natalité mais aussi et surtout à l'émigration ) et une migration des communes où règne la violence vers des communes ou des secteurs plus calmes, comme le 12e ou le 17e arrondissements de Paris.
( Mr Ghozlan, le president du BNVCA cite le chiffre de 10 000 JUIFS ayant quitté les banlieues de Paris )

Dans certaines communes, il y a donc moins d'agressions antisémites parce qu'il y a moins de juifs mais là où le juif est visible ( présence d'écoles, de centres communautaires, jeunes portant la kippa, période de fêtes hébraïques) les services de protection de la communauté constatent une hausse constante des agressions.

Faut-il le rappeler seules les synagogues et les écoles juives ont un policier devant la porte.

En dépit de tous les efforts des services de police, nous constatons l'échec récurrent des mesures prises et le développement des agressions ( 60 agressions par jour dans le seul arrondissement parisien où monsieur Madec est le maire)
Tout le monde semble aujourd'hui mettre en cause la politique communautariste du maire Roger Madec qui refuse obstinément de prendre ses responsabilités et persiste à rejeter la faute sur les services de police ou de prétendues confrontations communautaires

Dans le 19e arrondissement , la police a répertorié 1200 jeunes coupables de violences et très souvent d'agressions antisémites, contre une trentaine de jeunes juifs connus pour des actes d'incivilité.

A la lumière de ces chiffres « officieux » , nous devons interpeller monsieur Madec et lui demander comment peut-il encore soutenir le mythe des prétendues confrontations intercommunautaires ?

1200 racailles sévissent et font régner la terreur dans le 19e
1200 ordures qu'il faut jeter en prison ou expulser du territoire national.
1200 familles dont il faut immédiatement mettre en demeure de tenir leurs rejetons et en cas de refus obtenir leur mise sous tutelle.

Les services sociaux, les directeurs des collèges et les éducateurs du service de protection de la jeunesse doivent impérativement convoquer les parents des agresseurs et les mobiliser pour que cesse cette vague de violence antisémite.