lundi 26 janvier 2009

Phosphore blanc et étoile jaune

Film violent.
Images, séquences fortes déconseillées aux jeunes enfants.

Attention, âmes sensibles s'abstenir !!! Interdit au moins de 18 ans

C'est une horreur....Il s'agit du meurtre de membres du Fatah par le Hamas

FAITES-VOUS UNE OPINION.
FAITES CIRCULER CETTE VIDEO.
FAITES PARVENIR CETTE VIDEO AUX ACCUSATEURS D'ISRAEL




http://www.flurl.com/video/5501441_vom.htm



Le Phosphore Blanc va-t-il devenir le substitut de l’étoile jaune ?

Alors qu’Israël respecte le cesser le feu depuis le 18 janvier et a retiré ses troupes de Gaza, notre bonne presse n’a de cesse de mettre en avant l’accusation à son égard de « crimes de guerre » par l’ONU et Amnesty International.

L’accusation repose sur ce qu’a bien voulu montrer le Hamas, toujours maître des lieux par le truchement d’ONG familières: un adolescent cruellement brûlé, des débris et des restes d’obus.

Comme Le Monde (21/01) le rappelle tout de même, (non sans avoir globalisé indistinctement le nombre de morts), l’usage du phosphore fumigène n’est pas interdit par la Convention de Genève, « seule la Convention sur les armes classiques de 1980, et particulièrement le protocole III "sur l'interdiction ou la limitation des armes incendiaires", précise qu'elles sont strictement prohibées dans les zones peuplées de civils».

Certes, n’en doutons pas, les charges contenant du phosphore, tels les obus fumigènes M825 employés par Tsahal pour marquer les cibles ou servir d’écran, peuvent émettre des fragments qu’il n’est pas bon de recevoir.

Mais il ne faudrait pas pour autant faire de Gaza un nouveau Dresde, où, rappelons-le, il n’y a pas eu qu’un enfant blessé par des projections et des débris mais toute une ville anéantie sans nécessité stratégique.

C’était l’époque où la fumée était plutôt réservée aux camps d’extermination et où le nazisme n’avait pas à s’autoriser du Coran pour faire valoir ce qu’il considérait comme son devoir sacré.

Ceci pour simplement mettre en garde contre le caractère véritablement disproportionné des mises en cause d’Israël dans une guerre qui lui a été imposée pour défendre sa population contre d’incessants tirs de roquettes, dont plus d’une, sur les quelques 8000, déclenchèrent des incendies, blessèrent et tuèrent des civils, enfants compris.

Rien de bien criminel comme vous voyez ! Du reste, les Sdérotiens chantent toujours, Amnesty pourrait aussi en témoigner, comme jadis la Croix Rouge à Theresienstadt !

Mais revenons à l’information, ou plutôt à ses écrans de fumée, non phosphoriques, ceux là.

Comment se fait-il que ne soient pas dénoncées les déjà multiples violations du cessez-le-feu par le Hamas depuis sa propre et « unilatérale » déclaration ?

Faut-il que ce soit Al Quods qui dénonce les attaques du Hamas sur les convois humanitaires et leur pillage ? Et qu’en est-il du meurtre par le Hamas, depuis le retrait de Tsahal, d’une cinquantaine de Palestiniens membres du FATAH et des tortures infligées aux autres, des tirs poursuivis contre Israël, etc.

Bricoles, bricoles que tout cela, il ne faudrait tout de même pas cracher dans la soupe des grands « vainqueurs » avant qu’ils ne rétablissent pleinement la terreur contre tous.

Mais la terreur n’est pas un « crime de guerre », n’est-ce pas ?

Marc Nacht © Primo