dimanche 25 janvier 2009
FAUT-IL TRANSFERER LES ARABES "PALESTINIENS" EN LYBIE ?
Il suffit d’observer la carte de la Lybie, sa superficie, sa population, ses ressources pétrolières et ses ressources en eau pour comprendre que ce pays a surtout besoin d’un apport de main d’œuvres.
LE PAYS
La Lybie
Capitale : Tripoli
Superficie : 1 759 540 km²
Population : 5 918 000 hab
Densité de population (2008) : 3,5 h./km2
RESSOURCES PETROLIERES
40 milliards de dollars de recettes pétrolières en 2007
30% de ces revenus sont alloués aux dépenses de gestion de l'Etat, tandis que les 70% restants sont destinés à financer des projets de développement.
La Libye possède des réserves de pétrole évaluées à 43 milliards de barils
Ce pays envisage de doubler sa production pour atteindre quelque 3 millions de barils par jour en 2010.
TRANSFERER L’EAU
La Grande Rivière Artificielle.
Une centaine de puits puisent l'eau entre 400 et 800 m de profondeur. Les conduites de béton de quatre mètres de diamètre acheminent 2,5 milliards de mètres cubes d'eau par an. Outre l'alimentation en eau des villes, La Grande Rivière permet l'irrigation de 250 000 hectares dans les régions de Benghazi et de Syrte.
TRANSFERT DE POPULATION
Pourquoi ne pas transférer les arabes de "Palestine" vers cette contrée immense ( trois fois la France ) quasi inhabitée dont le Président-dictateur à vie semble convaincu qu’il ne peut y avoir deux états entre le Jourdain et la Méditerrannée.
Cette population, que la Ligue arabe s’acharne à maintenir dans un statut permanent de « réfugiés », est assistée depuis 60 ans par l’UNWRA.
Les sommes importantes dilapidées par cet organisme seraient mieux utilisées dans un immense projet d’intégration et de développement de la Lybie.
Population arabe à transférer :
1,4 million d’ habitants de la Bande de Gaza
2 millions d’habitants en Judée-Samarie
1,4 million d’habitants en Galilée
LANGUE parlée et écrite:
ARABE
Les Arabes "palestiens" ne constituent en aucune manière un peuple.
"Il n'existe aucune langue connue comme le "palestinien".
Il n'y a aucune culture distincte "palestinienne"